les gouvernements européens seront en mesure d'examiner le code source des produits Microsoft dans un centre de transparence, la société a lancé mercredi à Bruxelles, comme preuve que leurs produits ne comprennent pas les backdoors de sécurité.
Matt Thomlinson, Vice-président de Microsoft Security, a déclaré dans un blog qui vise Microsoft à maintenir de bonnes relations avec les gouvernements du monde entier, en ouvrant le centre. Il a également ajouté que le centre donnera l'occasion aux gouvernements d'examiner et d'évaluer le code des produits d'entreprise de la société et d'accéder à d'importantes informations de sécurité sur les menaces et les vulnérabilités sur la scène de la sécurité.
Centre similaire Fondé en Redmond, Washington
Thomlinson a ajouté que le centre de Bruxelles assurera les gouvernements européens, ainsi que les gouvernements du Moyen-Orient et de l'Afrique, que l'entreprise répond aux exigences de transparence en fournissant des produits et des services sécurisés.
Juin dernier, la société a ouvert un centre similaire à Redmond, Washington. Ces deux centres font partie du programme de sécurité du gouvernement de Microsoft (GSP), lancé en 2003 pour aider à créer la confiance avec les gouvernements qui sont intéressés à utiliser des produits Microsoft.
10 Produits de base déjà dans la liste
Selon Microsoft, pour les gouvernements nationaux et les organisations internationales qui font partie du programme il y a une liste des 10 produits de base, y compris Windows 8.1, 7 et Vista, dont le code source peut être consultée. Ils peuvent également inspecter le code d'origine pour les différentes versions de Windows Server et Office, ainsi que le client de messagerie Lync, SharePoint 2010 et les versions de Windows Embedded.
Une porte-parole de Microsoft a déclaré que le code source d'autres produits tels que Windows 10 peut être consulté en fonction des exigences de sécurité particulières de chaque gouvernement.
communauté Microsoft GSP mondiale englobe maintenant 42 différents organismes, de 23 les gouvernements nationaux et les organisations internationales dans le monde entier. L'étape suivante accueille la Commission européenne comme le dernier participant au programme.